7. Gauguin, by contrast, wrote to
Bernard in the second half of November 1888 about his relations with Van Gogh: ‘In general, Vincent and I see eye to eye on very little, especially on painting. He admires
Daudet,
Daubigny,
Ziem and the great
Rousseau, all of them people I can’t stand. And on the other hand, he detests
Ingres,
Raphael,
Degas, all of them people whom I admire; I reply, you’re right, soldier, for the sake of a quiet life. He likes my paintings very much, but when I’m doing them he always finds that I’m wrong in this and that. He’s a romantic, and I’m more drawn towards a primitive condition. From the point of view of colour, he sees the possibilities of impasto, as in
Monticelli, and I detest manipulated brushwork and so on.’ (Vincent et moi nous sommes bien peu d’accord en général, surtout en peinture. Il admire Daudet, Daubigny, Ziem et le grand Rousseau, tous gens que je ne peux pas sentir. Et par contre il déteste Ingres, Raphaël, Degas, tous gens que j’admire; moi je réponds brigadier vous avez raison pour avoir la tranquillité. Il aime beaucoup mes tableaux mais quand je les fais il trouve toujours que j’ai tort de ceci, de celà. Il est romantique et moi je suis plutôt porté à un état primitif. Au point de vue de la couleur il voit les hasards de la pâte comme chez Monticelli et moi je déteste le tripotage de la facture etc.) See
Correspondance Gauguin 1984, p. 284.