16. In his influential book
L’Art japonais (1883)
Louis Gonse wrote about Japanese artists’ custom of exchanging prints known as ‘surimonos’: ‘Small sheets, drawn or engraved by members of societies of artists, poets and tea-drinkers, are called
surimonos ... At New Year, the members of these societies were normally in the habit of giving each other presents. It was also good manners to make a drawing for the occasion, which one would have engraved and of which one would print a limited number of proofs for selection. In the hands of members, these proofs, called
surimonos, perpetuated the memory of their periodic meetings.’ (On appelle
sourimonos, de petites feuilles dessinées ou gravées par des membres de sociétés d’artistes, de poètes et de buveurs de thé ... Au retour de la nouvelle année, les membres de ces sociétés avaient généralement l’habitude de s’offrir quelque présent. Il était aussi de bon ton de composer quelque dessin de circonstance que l’on faisait graver et que l’on tirait à un nombre limité d’épreuves de choix. Ces épreuves, dites sourimonos, perpétuaient entre les mains des sociétaires le souvenir de leurs réunions périodiques.)
L’art japonais. Paris 1886, p. 324. Cf. Silverman 2000, pp. 42-43.