je profite de ma première sortie de l’hôpital pour vous écrire deux mots d’amitié bien sincère et profonde.
J’ai beaucoup pensé à vous à l’hôpital et même en pleine fievre et faiblesse relative.
Dites.– le voyage de mon frere Theo était-il donc bien nécessaire – mon ami? Maintenant au moins rassurez le tout à fait et vous-même je vous en prie. ayez confiance qu’en somme aucun mal n’existe dans ce meilleur des mondes où tout marche toujours pour le mieux.1