15. On this question
Blanc says in
Les artistes de mon temps: ‘Thus — when one mixes together blue and orange in equal quantities, the orange being no more orange than the blue is blue — the mixing destroys the two tones and the result is an absolutely colourless grey.’ (Ainsi, lorsqu’on mêle ensemble du bleu et de l’orangé à quantités égales, l’orangé n’étant pas plus orangé, que le bleu n’est bleu, le mélange détruit les deux tons et il en résulte un gris absolument incolore.)
Elsewhere in the book he says that, viewed from close to, ‘
Velázquez is not exactly a great colourist, in the sense that he does not have the essential quality of colouring, variety. He is a gourmet who eats hardly anything other than one dish, but who wishes it to be exquisite. On his sober palette the principal tones are silver white and ivory black, and his painting, the basis of which is a delightful grey, would be almost monochrome if he did not revive it, here and there, with some light red motifs, with some touches of a pale blue.’ (Vélazquez n’est pas précisément un grand coloriste, en ce sens qu’il ne possède pas la qualité essentielle au coloris, la variété. C’est un gourmet qui ne mange guère que d’un plat, mais qui le veut exquis. Sur sa sobre palette, les principaux tons sont le blanc d’argent et le noir d’ivoire, et sa peinture, dont un gris délicieux forme la base, serait presque monochrome, s’il ne la réveillait, çà et là, par quelques accessoires d’un rouge léger, par quelques touches d’un bleu évanoui.) See Blanc 1876, pp. 65, 355.