40. This view is repeatedly encountered in
Taine’s
Histoire de la littérature anglaise. He writes: ‘There is in him a painter, and an English painter. No mind, I believe, has ever imagined in more precise detail or with greater energy, every part and every colour of a painting ...
Dickens has the passion and the patience of his nation’s painters; he counts the details, one by one, he notes the different colours of old tree-trunks; he sees the split barrel, the broken, greenish cobblestones, the crevices in damp walls; he distinguishes the unusual smells they give off; he notes the size of patches of moss, he reads the names of schoolchildren inscribed on the door and dwells on the shape of the letters ... He’ll lose himself, like his country’s painters, in the minute and passionate observation of small things; he will never have any love for beautiful forms or beautiful colours.’ (Il y a en lui un peintre, et un peintre anglais. Jamais esprit, je crois, ne s’est figuré avec un détail plus exact et une plus grande énergie toutes les parties et toutes les couleurs d’un tableau ... Dickens a la passion et la patience des peintres de sa nation: il compte un à un les détails, il note les couleurs différentes des vieux troncs d’arbres; il voit le tonneau fendu, les dalles verdies et cassées, les crevasses des murs humides; il distingue les singulières odeurs qui en sortent; il marque la grosseur des taches de mousse, il lit les noms d’écoliers inscrits sur la porte et s’appesantit sur la forme des lettres ... Il se perdra, comme les peintres de son pays, dans l’observation minutieuse et passionnée des petites choses; il n’aura point l’amour des belles formes et des belles couleurs). See ed. Paris 1874, vol. 5, pp. 6, 16, 22 (‘Dickens’, chapter 1). Cf.
letter 232, n. 14.